UN MIRACLE QUI N'EN EST PAS UN

Il y a dans le cœur de l’homme un vide qui a la forme de Dieu. 
Depuis des temps immémoriaux, l’être humain n’a cessé de chercher à se rapprocher du divin. De découvrir le sens caché des choses; la magie qui se terre derrière le lever du soleil, une éclipse, les mystères des confins de l’univers,  comprendre les méandres de l’âme, avoir la capacité de contrôler la pensée, induire un comportement, devenir plus. Mais en est-il seulement capable?
Comment pourrait-il comprendre les rouages d’un système dans lequel il n’est qu’une pièce du puzzle? Tout ce que l’humain a réussi à accomplir c’est d’établir avec certitude le besoin d’avoir recours à une force extérieure, une superpuissance.
La science a permis de voir qu’il existe tellement de mystères dans cet univers, de choses dont on commence à peine à soupçonner l’existence. Évidemment des théories sont avancées pour expliquer le fonctionnement des choses, mais ce ne sont que des théories. Et même quand on arrive à saisir avec certitude le mécanisme qui est en arrière du système, personne n’est capable de dire au delà de tout doute comment cela a commencé.
Ayant l’apparence de la piété, mais en reniant ce qui en fait la force.
Je ne veux pas d’une promesse qui ne tient pas ses promesses; m’approcher de la vérité sans être capable de la saisir, de la vivre. 
Je ne veux pas qu’on me parle de transformation intérieure, de nirvana, du divin en moi, de la personne extraordinaire et forte qui sommeille en chacun de nous sans me donner un moyen sur et garanti d’accéder à toutes ses qualités exceptionnelles. 
Je ne veux pas d’une parole qui ne tient pas ses promesses; ayant l’apparence de la piété, mais en reniant ce qui en fait la force. 
Je veux la vraie affaire, celle qui me permet de réellement me dépasser, de transcender ma nature humaine, de ne pas être  soumis à des pulsions primaires et primitifs. 
Je veux pouvoir agir et non réagir, ne pas être une marionnette balayée au gré des circonstances et des émotions. 
Je veux la piété et ce qui en fait la force et je connais un seul homme qui ne s’est jamais laissé dominé par la chair, un seul qui n’a jamais perdu de vue la mission qui s’était fixée, peu importe ce que subissait son corps, son âme ou son esprit, un seul qui n’a jamais cessé d’aimer même quand il était soumis à la haine dans toute sa laideur. 
Je veux être comme cet homme. 
Je veux la piété et ce qui en fait sa force. Je veux JÉSUS.

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